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work anecdotes in times of pandemic

Anecdotes de travail en temps de pandémie

Pour la grande majorité des travailleurs dans le monde, le concept de travail a pris un tournant inattendu les derniers jours. Travail en première ligne, télétravail, chômage, réévaluation du modèle d'affaire, obligation de fermer boutique, création d'entreprise, changement de carrière, retour au travail, bénévolat ; ce sont là, parmi tant d'autres, tous des revirements de situation qui émergent de la pandémie. En effet, ce n'est pas facile pour la plupart des travailleurs et entreprises qui voient leur vie quotidienne et leurs repères bouleversés en devant repenser leur approche non seulement pour s'adapter à la crise, mais pour mieux rebondir une fois celle-ci passée.

Parce que nous vivons tous ce moment historique en même temps, à des rythmes différents, nous avons réuni des anecdotes cocasses et touchantes que les travailleurs ont vécues pendant cette période quelque peu déconcertante. Aussi éloignés physiquement que nous le soyons, notre proximité prend un nouveau sens. Voici quelques histoires-soleil pour montrer que des sourires émergent de ce printemps déroutant. 


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Un enfant, une coupe de cheveux apocalyptique, 200 000 confettis de gâteau et une surprise les fesses à l'air

J'avais peur de ne pas travailler pendant les six prochains mois et de ne m'occuper que de mes trois enfants. La première semaine à la maison, la plus jeune a coupé ses cheveux avec des ciseaux et a éclaté une bouteille de 200 000 000 confettis de gâteau multicolores sur le plancher de notre chambre. Quelques jours plus tard, je reçois un coup de téléphone. J'ai obtenu un contrat, une super opportunité liée à la COVID-19. Nous prévoyons une vidéoconférence avec toute l'équipe pour le lendemain. Quelques minutes avant la réunion, je donne le bain à la plus jeune. Après le bain, je décide de lui faire porter son peignoir parce que, why not. Je m'enferme donc dans le bureau pour ne pas être dérangé, en m'assurant que ses sœurs aînées s'occupent d'elle. Nous sommes à la moitié de la vidéoconférence, et la porte s'ouvre. La demoiselle à la drôle de coupe de cheveux est de retour, flambant nue au milieu du cadre de la caméra. Je me dépêche de fermer la caméra et de couper le son du micro. Je pense que personne n'a vu ce qui s'est passé.

- Catherine, Productrice, Hudson


work-related stories in times of pandemic

Un bisou spontané

Je suis allé donner un p'tit bisou à mon chum alors qu'il travaillait avec ses écouteurs. Je me suis vite rendu compte qu'il est en vidéoconférence et que tout le monde me voyait. Heureusement, j'étais habillée :)

- Élisabeth, Chargée de projet pour le département d'urbanisme de la Ville de Westmount, Bromont

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L'amateur d'animaux embaumés 

Cette quarantaine nous rapproche de nos collègues beaucoup plus que j’aurai aimé. J’ai eu la chance d’apprendre que mon collègue avait une collection d’animaux embaumés dans son salon. Il est particulièrement fier de sa collection de serpents dans les contenants de verres. C’est vraiment génial les rencontres Zoom...

- Valerie, Montréal 

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Bénévolat au front 

Good Shepherd est un refuge à Toronto qui sert plus de 1 000 repas par jour aux sans-abri, aux personnes marginalisées et aux autres personnes dans le besoin. J'y travaille bénévolement tous les dimanches matin depuis novembre et j'ai pu me rendre compte du nombre de personnes qui bénéficient de ce service de repas. Malheureusement, à cause de la crise COVID-19, ils ont dû fermer leurs services de repas pour assurer la sécurité de tous. Cependant, cela met les personnes dans le besoin dans une situation malheureuse, car c'est souvent leur seul repas de la journée. Le refuge a demandé aux citoyens de faire des dons de nourriture tels que des bouteilles d'eau, des jus, des barres de céréales, de la charcuterie, du pain, etc. pour préparer plus de 700 sacs de repas qu'ils distribuent chaque jour.

Quand j'ai appris la situation, j'ai évidemment voulu aider. J'ai demandé à mes amis s'ils voulaient se joindre à moi pour transporter quelques boîtes d'eau en bouteille et de barres granola. Mon ami Paget a décidé de pousser la chose plus loin. Elle a pris contact avec ses connaissances et amis pour savoir qui voulait aider. En moins de 24h, nous avons récolté 500$ - ma petite voiture était chargée de marchandises à apporter au refuge. Le 4 avril, nous avions recueilli 1 700 $ en dons, ce qui nous a permis d'acheter tout ce dont nous avions besoin pour nous aider à préparer les sacs de repas. En temps de crise, il est essentiel de rester en sécurité et en bonne santé. Nous devons également garder à l'esprit que certaines personnes souffrent beaucoup de toutes les fermetures. Pouvoir aider fait une différence et rend les choses un peu plus faciles !
- Laurence, Chargé de compte senior au BIMM

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Le risque de la passion

Étant à la retraite, mon père de 69 ans a fait du bénévolat pendant deux ans dans un centre de soins et d'hébergement de longue durée. Il s'est ensuite découvert une passion et a décidé qu'il voulait aider. Il est donc retourné à l'école pour devenir préposé aux bénéficiaires (PAB) et a obtenu son diplôme en décembre dernier. Il ne savait pas qu'il entrerait dans le système de santé pendant une pandémie mondiale. Sachant qu'il est âgé de 69 ans et plus à risque, il travaille tout de même à plein temps et croit qu'il doit aider les gens ! Il aime son travail et je pense qu'il rend le monde meilleur en ayant une approche aussi humaine avec les patients. Il leur fait aussi dessiner des arcs-en-ciel. Cute.

- Anonyme

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Les sous-vêtements : les nouveaux vêtements de travail 

Un formateur TI qui insiste pour que j’ouvre ma caméra comme les autres membres du groupes sur Zoom, alors que je suis encore en bobettes. Je profite de tous les avantages du télétravail, vous voyez.

- Caroline, Coordonnatrice à l’Université

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Le service à son meilleur

Je suis coiffeuse propriétaire et cette situation m'a pris de court. J'ai décidé de préparer, pour chaque cliente qui le désire, une trousse de coloration à emporter à la maison. Dans un sac, je place la coloration, des gants, un pinceau applicateur et une petite marche à suivre pour leur faciliter la vie. Elles passent en voiture à un moment pré-déterminé et je leur dépose dans leur coffre d'auto, mon désinfectant pas trop loin. Mes clients sont très contents d'avoir cette possibilité. Voilà comment je soutiens ma clientèle pendant cette crise. Ça nous rend créatif !

- Catherine, Propriétaire de salon de coiffure, Granby 

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La goûte qui fait déborder le vase

Je dois dire que, la première semaine, j'ai pris plaisir au slow living. Par contre, rendu à la 2e semaine, j'ai commencé à trouver le temps long longtemps. Je me suis mise à très mal dormir et à me réveiller plusieurs fois par nuit ; même la nuit était comme trop longue. Ceci dit, j'ai compris que j'étais vraiment à ''BOUTTE'', quand j'ai rêvé que je m'emmerdais et que je trouvais le temps long. S'EMMERDER dans un RÊVE. À quel point ma vie est devenue aussi boring.

- Anabelle, Chargée de projets, Montréal 

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L'observateur observé

Le travail à domicile a ses avantages. Chaque fois que je lève les yeux, mon chien me regarde et je ne peux pas m'empêcher de rire. 

- Stacey, Équipe marketing

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Party pyjama

Je suis entrée dans ma réunion ZOOM avec l'équipe sans me rendre compte que j'étais encore en pyjama. Tout le monde riait !

- Marie-Claude, Sorel

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Enthousiasme interrompu

Après avoir travaillé de la maison pendant 8 mois dans mon emploi précédent, je me réjouissais rejoindre une nouvelle équipe et travailler dans les bureaux, sur place, avec une gang. À ma première journée, le gouvernement annonçait le confinement général. J'ai définitivement été la nouvelle recrue qui a passé le moins de temps au bureau de l'histoire d'ergonofis. Un total de 5 heures ; le temps de récupérer mon ordi et me faire briefer.

- Guillaume, React Native Developer, Montréal

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Les mauvaises odeurs ont frappé le ventilateur 

Mon bureau est dans ma chambre et, faute d’espace disponible, la litière de mon chat n’est pas très loin. J'étais en vidéoconférence avec mes collègues et mes superviseurs. Pendant l'appel, mon chat a décidé de faire ses besoins. Résultat : une charmante odeur m’a frôlé le nez. J’ai vite changé d’air - sans faire de mauvais jeu de mot. Ah les bonheurs du télétravail ! 

- Béatrice, Agente à la ligne d’aide, Montréal

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